Pour nombre de ses lecteurs, le nom de Philippe Garnier constitue la porte d’entrée – pour reprendre le sous-titre de son ouvrage Maquis – d’un autre paysage américain, qu’il arpente depuis près d’un demi-siècle. En 1976, il quitte Le Havre et sa boutique de disques d’occasion pour San Francisco ; mais la ville lui semble encore trop européenne, et c’est […]