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Louis FABULET (1862-1933)

Crédits : Pierre le Trividic, in André RENAUDIN, Louis Fabulet traducteur de Kipling : un précurseur de l’écologie en forêt de Roumare (Rouen : C.R.D.P., 1980).

Si le nom de Louis Fabulet nous est resté, c’est avant tout parce qu’il est attaché à celui de Rudyard Kipling, prix Nobel de littérature en 1907, dont il traduisit presque toute l’œuvre en français. Pourtant, vers la fin de sa vie, Fabulet confia à René-Gustave Nobécourt qu’il considérait que sa grande œuvre résidait moins dans la diffusion en France de l’œuvre de Kipling que dans « la découverte qu’il a[urait] faite dans la pensée et la littérature mondiales de l’Américain Henry Thoreau […] et de Walt Whitman », ce qui nous renseigne sur l’importance qu’il accordait à la circulation de ses traductions de la littérature des États-Unis, mais aussi sur une certaine forme d’orgueil inquiet quant à sa propre postérité.

Des débuts sous le signe de Kipling

Avant de consacrer son existence à la traduction, Fabulet, né à Rouen en 1863, fut chef de cabinet auprès du préfet des Landes à Mont-de-Marsan (vers 1885), poste qu’il occupa après avoir obtenu sa licence de droit. Cependant, au bout de cinq ans, il traversa une crise intérieure qui le conduisit à donner sa démission. Il collabora alors au Patriote de Normandie et devint chroniqueur judiciaire au quotidien monarchiste Le Soleil. C’est à ce titre qu’il couvrit le procès de l’anarchiste Caserio, assassin du président Sadi Carnot, à la défense duquel il jurait de « consacrer [s]a vie, si Kipling n’était pas venu en travers » (lettre du 3 février 1931 à Jean-Richard Bloch). Son unique recueil de poésie, La Crise, paru en 1896, est un témoignage des tourments qui furent les siens.

À de nombreuses reprises, Fabulet raconta que c’est à l’occasion d’un banquet organisé en mai 1898 en l’honneur d’Oscar Wilde que ce dernier lui aurait suggéré de s’intéresser à l’œuvre de Kipling. Vers la fin de sa vie, il se montra particulièrement contrarié par la parution d’un ouvrage de Léon Pierre-Quint consacré à André Gide où ledit banquet est évoqué sans que soit fait mention de la présence de Fabulet. Il s’en ouvrit à Gide dans sa lettre du 6 février 1933, lui rappelant qu’il avait été à l’origine de cette réunion d’hommage. Plus simplement, il se pourrait que ce soit la lecture de plusieurs des contes de Kipling traduits dans La Revue bleue à partir de 1894 qui lui ait donné l’idée de se consacrer pleinement à cette tâche. Toujours est-il que sa vocation de traducteur est étroitement liée à la découverte de l’œuvre de l’auteur du Livre de la jungle et de Kim. Rencontrant des difficultés liées à sa maîtrise imparfaite de la langue anglaise, Fabulet s’adjoignit la collaboration de son ami Robert d’Humières, puis celle d’Arthur Austin-Jackson et de Charles Fountaine-Walker. Il consacra près de vingt ans de son existence à la traduction des œuvres de Kipling dans lesquelles il percevait une énergie propre à renouveler l’inspiration en France. Aussi situait-il Kipling dans la lignée de Walt Whitman, Henry David Thoreau ou encore Herman Melville : « Je crois ne pas m’abuser en déclarant que Kipling, en dépit de tout ce qu’il peut dire de fâcheux contre l’Amérique, est lui-même sorti de cette littérature américaine-là. » (Réponse à « L’Enquête des “Cahiers du Sud” » 271)

La déconvenue Whitman

Fabulet découvrit l’œuvre de Whitman aux alentours de 1898, à peu près au même moment que d’autres grands passeurs, tels que Valery Larbaud et surtout Léon Bazalgette, avec lequel son histoire interfère de façon aussi singulière que romanesque. Fabulet entreprit aussitôt la traduction intégrale de Leaves of Grass, dont il fit paraître des morceaux choisis dans la revue L’Ermitage en 1904 et 1905. Il passa alors un accord informel avec Alfred Vallette pour que, le moment venu, sa traduction paraisse aux éditions du Mercure de France. Toutefois, en 1909, Fabulet eut la mauvaise surprise de découvrir dans la devanture d’une librairie rouennaise une traduction des Feuilles d’herbe, signée Bazalgette et parue au Mercure de France. Les années passant, Vallette avait accepté de bonne foi le manuscrit de Bazalgette, ayant oublié l’accord qui le liait à Fabulet. Ce dernier trouva néanmoins à réutiliser certaines parties de son travail en contribuant à l’important volume collectif des Œuvres choisies de Whitman, qui parut au lendemain de la Première Guerre mondiale aux éditions de la Nouvelle Revue française. Initié par André Gide et Jean Schlumberger, ce volume tentait de corriger partiellement la version de Bazalgette. De fait, le plus gros de la tâche incomba à Fabulet. Les droits furent d’ailleurs partagés entre lui et Valery Larbaud, auteur d’une riche introduction, révélatrice des luttes éditoriales et idéologiques autour de la figure du poète américain.

La plupart des premières traductions de Fabulet étant demeurées inédites, il est difficile d’apprécier l’ampleur des remaniements apportés en vue de cette publication. On peut néanmoins en avoir un aperçu en comparant les deux états de « Quand je sus à la chute du jour ». Les différences y apparaissent peu nombreuses. La plus notable est sans doute le passage du terme « bien-aimé » en un plus explicite « amant », conformément à l’ambition du volume qui visait à rétablir la dimension homoérotique de nombreux poèmes, escamotée par Bazalgette. Dans une lettre à Gide, non datée mais probablement écrite en 1918, Fabulet souligne que « la traduction de Bazalgette fourmille de contresens, quoique l’on sente qu’il s’est donné une grande peine et a surmonté bien des difficultés ». Il préconise alors de « serrer le texte de très près, faire presque du mot à mot, le style de W[hitman] étant primitif et cinématographique. » (Fonds André Gide, Bibliothèque Littéraire Jacques Doucet, Gamma 503)

Fabulet semble avoir conçu quelque rancœur à avoir été devancé dans cette grande œuvre. Quelques mois seulement après la mort de Bazalgette, il tenta de relancer le projet d’une traduction intégrale de Leaves of Grass sous son seul nom à la NRF et sollicita Gide en ce sens, sans succès (lettre du 18 mai 1929).

Walden sur le fil

En dépit de cette déconvenue, Fabulet n’en poursuivit pas moins son exploration de la littérature états-unienne. Peu avant la Première Guerre mondiale, il rendit visite à André Gide pour lui parler, avec un enthousiasme débordant, du livre d’un écrivain qu’il venait de lire. Dans sa préface à Walden ou la vie dans les bois (1922), il raconte que, bien qu’il n’ait prononcé ni le nom de l’œuvre ni celui de son auteur, Gide sut immédiatement de quel ouvrage il s’agissait. L’auteur des Nourritures terrestres sortit alors de sa poche l’opuscule deThoreau dont il avait entrepris la traduction quelques jours auparavant. Il accepta d’abandonner à Fabulet le soin de le traduire contre la promesse d’une parution aux éditions de la NRF. Il fallut sept ans au traducteur pour venir à bout de ce travail.

C’est à ce moment-là que les destinées de Fabulet et Bazalgette se croisèrent à nouveau. Jean-Richard Bloch, qui était l’ami de l’un et de l’autre, rapporte qu’il se trouvait dans le bureau de Bazalgette aux éditions Rieder, lorsque son ami découvrit par un placard publicitaire dans La Nouvelle Revue française la parution de la traduction de Walden par Fabulet. Bazalgette, dans le plus grand secret, venait de consacrer les dix dernières années de sa vie à cette tâche. À en croire Bloch, ces mésaventures entre les deux traducteurs seraient en partie à l’origine de l’idée d’un bureau central des traductions au sein du Pen Club (Bloch 279). Saluée par Bazalgette dans la presse, la traduction de Walden ne connut pas le succès escompté. Fabulet s’en montra un peu déconfit, accusant Gallimard de n’avoir rien fait pour lancer et soutenir le livre (voir, par exemple, la lettre à Gide du 14 janvier 1927).

À travers quelques articles, il tenta de susciter l’intérêt autour de ce livre pour lequel il concevait une passion sans réserve, comme en témoignent ses correspondances avec Gide et Bloch. Il eut aussi le projet, dès 1924, de traduire le Moby Dick de Melville, essayant d’y intéresser Gide. Il en parle comme l’« un des plus beaux livres qui soient au monde, et que j’ai découvert il y a plus d’un an. Encore un livre américain, de la pléiade des Thoreau et des Whitman… […] Shakespeare n’a rien fait de plus beau. Et c’est la source, je le reconnais, de Kipling, qui pâlit auprès de lui, et de Conrad, etc. Il faudrait s’asseoir à plusieurs pour le traduire, et ne pas se faire couper l’herbe sous le pied… » (lettre du 21 janvier 1924)

Des traductions existentielles

La concurrence entre Bazalgette et Fabulet, reflet de celle que se livrent les maisons d’édition, n’est qu’un exemple des rivalités qui façonnent l’histoire de la traduction. Si les uns et les autres aiment à présenter la traduction comme un sacerdoce ou une tâche à laquelle ils se vouent de façon désintéressée, correspondances privées et histoires croisées invitent à nuancer cette image, en soulignant au contraire l’importance des enjeux de reconnaissance et des retombées symboliques liés à la traduction d’auteurs étrangers. Il n’en demeure pas moins que Fabulet entretint vis-à-vis des œuvres qu’il traduisit un rapport intensément existentiel. En 1903 déjà, il écrivait à Gide : « Je sais très mal l’anglais, mais j’aime Rudyard Kipling, je l’ai dans le sang, et je cherche à le faire comprendre à mes compatriotes récalcitrants, comme je le comprends moi-même. » (lettre du 22 novembre 1903) Fabulet ne manifesta jamais, semble-t-il, une aisance remarquable en matière de traduction. En 1924, pour sa traduction du texte de Thoreau « De l’Amitié », il reconnaît avoir commis des erreurs « grossières », « de purs contresens » que des amis des États-Unis lui ont indiqués et qu’il s’empresse de corriger (lettre à J.-R. Bloch, 10 février 1924). Ailleurs, il se dit « bûcheur en matière de traduction mais lent à déchiffrer les textes difficiles, d’une lecture quelque peu labourante (sic) » (lettre à J.-R. Bloch, 21 octobre 1925).

S’il fut porté vers la traduction, c’est donc moins par attachement à une langue que par un compagnonnage avec des auteurs et des œuvres dont il chercha à tirer, selon les mots de Bloch, une « leçon d’énergie simple et primitive, de retour à la nature, de rafraîchissement épique et lyrique » (Bloch 281). S’imprégnant de ces œuvres sur le temps long, Fabulet rappelait volontiers le mot de son ami Robert d’Humières : « Il faut au traducteur “vivre avec son texte” » (Réponse à « L’Enquête des “Cahiers du Sud” » 269). À cet égard, nulle œuvre ne semble l’avoir autant marqué que Walden. En 1922, dans un article du Figaro, expliquant son rapport à la lecture, il écrit :

Je crois que si nous mettions à profit nos lectures, il ne serait besoin que de fort peu de livres. […] j’ai choisi, j’ai reconnu les livres, j’ai lu de moins en moins, mais de mieux en mieux, et le dernier livre en date qui se soit imprimé en moi, et dont en moi j’ai constaté le bienfait, est ce Walden de l’Américain Henry-David Thoreau [Sic], dont récemment j’ai cru de devoir impérieux de donner une version française. […]

Pour ma part, me contenterais-je, je le sais, des Védas, d’un Homère, d’un Confucius et d’un Mencius, d’un Épictète, d’un Platon, d’un Virgile, d’un Sénèque, d’une Bible, d’un Dante, d’un Shakespeare, mais peut-être simplement du Walden de Henry-David Thoreau [Sic], qui les résume tous avec une ironie contre la société et ses résultats, et un amour de la nature, tels qu’il en rayonne l’aurore d’une ère nouvelle sur le total en cendres de l’expérience des siècles écoulés. (5)

Fabulet se montra en effet particulièrement sensible à la conscience écologique de Thoreau, à sa célébration du vivant sous toutes ses formes. Le lyrisme avec lequel il exalte le lien qui unit l’auteur de Walden à la nature laisse percevoir une forte identification du traducteur à son objet : 

Tous les livres, tous les écrits du sage de Concord, sont surtout l’exaltation de cette vie au grand air, et prêchent l’affranchissement des liens bas de la matière pour des jouissances que seule la Nature en sa splendeur peut nous procurer. […]

Cette vie qui doit être, et qu’on sent la seule vraie, il l’a, au cours de trois années, menée là, subvenant de ses seules forces à tous ses besoins, et trouvant le temps de jouir de la vie comme bien peu d’hommes, je crois, sont arrivés à en jouir sainement et honnêtement, et d’écrire ce livre, l’un des plus beaux et des plus rares du monde, et dont il n’est pas un mot qui ne soit la révélation de la vérité, de la vérité ailleurs enterrée par les hommes sous une couche de mensonge telle qu’elle fait à la réflexion l’homme sincère rougir devant l’animal. (5-6)

À Fabulet, donc, le Thoreau chantre de la nature ; à Bazalgette, qui traduisit Désobéir en 1921, le Thoreau politique et abolitionniste. En 1922, Fabulet chercha à prolonger la geste de Thoreau en Normandie, comme l’avait fait avant lui Balzagette en son moulin des Noës. Le traducteur de Walden fit en effet en 1922 l’acquisition d’un terrain dans la campagne rouennaise, et construisit, avec l’aide d’un ouvrier, « un logis à la Walden » (lettre à J.-R. Bloch du 26 octobre 1922). Amoureux de la nature, arpenteur inlassable des sentiers forestiers malgré d’importants problèmes respiratoires qui l’obligeaient à fuir le climat humide de Normandie plusieurs mois dans l’année, il fit montre à plusieurs reprises de son engagement écologique. En 1928, invoquant la figure de Thoreau, il lança un appel pour la sauvegarde des mares en forêt de Roumare dans Le Journal de Rouen. Et en 1932, il fit paraître une longue lettre dans le même journal, dans laquelle il interpelle, avec indignation, les promeneurs : « Ne salissez pas les forêts ! » 

L’apport de Louis Fabulet dans la diffusion des textes et de la pensée de Whitman et Thoreau en France est considérable. Professant le désintéressement du traducteur, il se montrait néanmoins régulièrement fâché qu’on ne rende pas justice à son mérite, quitte à se montrer injuste et à donner de lui l’image d’un homme orgueilleux. Aussi Bloch concluait-il l’hommage à son ami en le sacrant « poète » : « Fabulet est un poète dont les poèmes ont pour titre Whitman, Kipling et Thoreau. Ce timide, cet ambitieux, abrita son rêve, ses enthousiasmes et sa souffrance derrière ces grandes figures. » (Bloch 281) Il mourut le 30 mars 1933.

Notice et bibliographie établies par Alexis BuffetMaître de conférences en littérature française des XXe et XXIe siècles, Université de Lille, ALITHILA (UR 1061).
Pour citer cette notice : Notice Louis FABULET (1862-1933) par Alexis Buffet, Dictionnaire des Passeurs de la Littérature des États-Unis, mise en ligne le 28 mars 2025 - dernière modification le 28 mars 2025, url : https://dicopalitus.huma-num.fr/notice/louis-fabulet-1862-1933/ 

Bibliographie

Bibliographie primaire

Traductions de la littérature états-unienne

THOREAU, Henry David. « Walden, ou La vie dans les bois ». [Walden; or, Life in the Woods, 1854]. La Revue de Paris, 1er mars 1921, p. 56-71.

THOREAU, Henry David. Walden, ou La vie dans les bois. [Walden; or, Life in the Woods, 1854]. Paris : Éditions de la Nouvelle Revue française, 1922.

THOREAU, Henry David. « De l’Amitié » [Friendship: An Essay, 1903]. Europe, 15 décembre 1924, p. 440-462.

WHITMAN, Walt. « Poèmes de Walt Whitman » (comprend « Ô Sud-aimant », « À un étranger », « Quand j’appris à la chute du jour »). [« O Magnet-South », « To a Stranger », « When I Heard at the Close of the Day »] L’Ermitage, mars 1904, p. 218-222.

WHITMAN, Walt. « Poèmes » (comprend « J’ai traversé jadis une cité populeuse », « Battez ! battez ! tambours ! », « Reviens des champs, Père », « Mouvements primitifs », « Étrange Veillée que je fis sur le terrain une nuit », « Ô Étoile de France 1870-1871 »). [« Once I Pass’d Through a Populous City », « Beat! Beat! Drums ! »,  « Come Up from the Fields Father », « Native moments », « Vigil Strange I Kept on the Field One Night », « O Star of France [1870-71] »] L’Ermitage, 15 décembre 1905, p. 333-340.

WHITMAN, Walt. Œuvres choisies : poèmes et proses, traduits par Louis Fabulet, Jules Laforgue, André Gide, Jean Schlumberger, Francis Vielé-Griffin ; précédés d’une étude par Valery Larbaud. Paris : Éditions de la Nouvelle Revue française, 1918.

Sélection d’articles et tribunes

FABULET, Louis. « Henry David Thoreau ». La revue de Paris, 1er mars 1921, p. 47-55. (Ce texte constitue par ailleurs la préface à l’édition de Walden ou la vie dans les bois.)

FABULET, Louis. « Henry David Thoreau et “Walden” ». Le Figaro, 24 août 1922, p. 5-6.

FABULET, Louis. « Henry David Thoreau et l’amitié ». Europe, décembre 1924.

FABULET, Louis. Réponse à « L’Enquête des “Cahiers du Sud” ». Les Cahiers du Sud, n° 89, 1er avril 1927, p. 268-271.

FABULET, Louis. « Les mares de la forêt de Roumare ». Journal de Rouen, 1er octobre 1928, p. 2.

FABULET, Louis. « Ne salissez pas les forêts ». Journal de Rouen, 7 décembre 1932, p. 2.

Correspondances inédites

FABULET, Louis. Lettres à Jean-Richard Bloch. Fonds Jean-Richard Bloch, BNF, NAF 28222 (161).

FABULET, Louis. Lettres à André Gide. Fonds André Gide, Bibliothèque Littéraire Jacques Doucet, Gamma 503 (1-16 ; 18-19).

FABULET, Louis. Lettres à Paul Léautaud. Fonds Paul Léautaud, Bibliothèque littéraire Jacques Doucet, Alpha Ms 311413.

FABULET, Louis. Lettre à Adrienne Monnier. Fonds Adrienne Monnier, Bibliothèque littéraire Jacques Doucet, Alpha Ms 8012.

Bibliographie secondaire

BAZALGETTE, Léon. « Walden ou la vie dans les bois ». Les Cahiers idéalistes, 1er mars 1922, p. 8-12.

BLOCH, Jean-Richard. « Commentaires : Louis Fabulet ». Europe, 15 juin 1933, p. 277-281.

BUFFET, Alexis. « Préface ». In BAZALGETTE, Léon. Henry Thoreau sauvage. Paris : La Thébaïde, coll. « Roman », 2022, p. I-XVII.

CATEL, Jean. « Lettres anglo-américaines ». Mercure de France, 15 septembre 1922, p. 808-810.

GUERMANTES. « Un traducteur fidèle ». La Revue mondiale, 15 mai 1933, p. 46-47.

LACRETELLE (DE), Jacques. « Louis Fabulet ». Les Nouvelles littéraires, artistiques et scientifiques, 15 avril 1933, p. 1.

LÉAUTAUD, Paul. « Mort de Louis Fabulet ». Mercure de France, 15 avril 1933, p. 497-498.

NOBÉCOURT, René-Gustave. « Rencontre de Louis Fabulet traducteur de Kipling ». Journal de Rouen, 21 février 1933, p. 5.

RENAUDIN, André. Louis Fabulet traducteur de Kipling : un précurseur de l’écologie en forêt de Roumare. Rouen : C.R.D.P., 1980.

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